Ali Amar, un pseudo-journaliste, refuse la publication du droit de réponse de l’artiste marocain Achraf Baznani. Suite à la publication de plusieurs accusations contre l’artiste Achraf Baznani par le journal de Ali Amar (Lire Qui est Ali Amar?), et après le refus de la publication du droit de réponse de Achraf Baznani par Amar, nous le publions tel qu’il est:
« Pourquoi toute cette haine ? Mes photos sont toutes originales, je crée des espaces géants et je m’y place moi-même. Mes œuvres sont inspirées par un monde imaginaire dans lequel je me plonge, à travers ma présence dans toutes les photos que j’ai présentées dans de différents espaces. Mes inspirations viennent parfois des films de science-fiction et des bandes dessinées, et parfois de ma propre imagination, de telle sorte que je construise des mondes virtuels irréels pour m’y placer, loin de la photographie ordinaire, consommée et simple. Bien sûr, l’inspiration pour mes œuvres vient d’abord de mon imagination mais aussi d’artistes cinéastes connus tels que Peter Handke, Rob Letterman, Tim Burton et bien d’autres. Et quelques idées sont l’application des propositions des visiteurs de ma page Facebook, dont le nombre a dépassé 120 mille.
Je ne pense pas que mon succès soit venu par hasard car les prix que j’ai obtenus étaient pour des œuvres originales dont les idées étaient sans précédent dans l’histoire.
La publication de mes œuvres d’art dans des magazines mondialement respectés et spécialisés dans la photographie comme National Geographic est la meilleure preuve de la particularité de leurs idées. Quant aux prix, ils ne sont décernés qu’après la tenue d’un comité spécialisé dans le domaine de la photographie et se composant généralement de docteurs de grande renommée dans leur domaine et dont l’intégrité ne peut être remise en question.
Quant à mon accusation d’avoir insulté et injurié mon collègue, cette information est fausse. Ce sont de fausses accusations. Et la pseudo-journaliste qui a dit dans son article que j’ai esquivé ses questions n’est pas crédible, car, au moment de ma réception des questions, après 8 jours de son premier message, j’étais au palais présidentiel à Abidjan, et je me suis excusé de ne pas répondre avant mon retour à l’hôtel. A mon retour, je n’ai pas pu envoyer les réponses à cause des nombreuses préoccupations survenues jusqu’à ce que je sois surpris par l’article publié sans y avoir mentionné ma position ».